C’est un paysage déroutant pour tout nouveau venu dans le sport. Mais le phénomène des vélos électriques coupe le bruit et suscite l’intérêt d’un nombre toujours croissant de personnes.
En France, les VTT à assistance électrique ne sont pas moins controversés mais l’argument pour les adopter est enfin gagnant.
Pour comprendre pourquoi, il suffit de regarder le terrain. Des montagnes énormes, une chute verticale massive et des kilomètres et des kilomètres de singletrack épique. Cela a toujours été le domaine des cavaliers en forme et expérimentés. Plus maintenant, les vélos de montagne électriques ont uniformisé les règles du jeu.
Désormais, le VTT est accessible à tous, des personnes qui remontent sur un vélo pour la première fois après une blessure aux nouveaux parents et aux types de carrière occupés qui n’ont tout simplement pas le temps d’accumuler les kilomètres d’entraînement. Et cette montée brutale de 45 minutes maintenant prend la moitié du temps et est tout aussi amusant que la descente.
Les vélos électriques rendent le cyclisme accessible à plus de personnes. Tout ce qui permet à plus de gens de faire du vélo contribue à remplir la mission sous-jacente de la FFC (Fédération Française de Cyclisme).
Voici une vidéo montrant la popularité des vélos électriques :
L’organisation gère un vaste réseau de sentiers balisés à travers la France et ils sont tous ouverts aux vélos électriques. Cependant, tout le monde n’est pas à 100% à bord. Dans le massif du Vercors, dans le sud-est de la France, il existe une section facultative de la Grande Traversée du Vercors où les vélos électriques ont été interdits. C’est une réserve naturelle et l’argument veut que les vélos électriques rendent la zone si facilement accessible qu’elle sera envahie par les visiteurs.
Ils pourraient avoir raison. Si la poussée supplémentaire d’un moteur électrique signifie que vous pouvez faire le trajet en moitié moins de temps, l’attrait plus large doit signifier plus d’usure sur Dame Nature. Jusqu’à présent, ce point de vue est soutenu par l’International Mountain Bicycling Association (IMBA) qui fait pression pour que les vélos de montagne et tout ce qui est équipé d’un moteur soient classés séparément. Le débat continue.
Pour le moment, les vélos électriques avec assistance au pédalage jusqu’à 25 km/h et une puissance nominale continue maximale de 250 W sont exclus de la législation européenne compliquée en matière de réception par type. Même en Europe, l’interprétation de la législation peut varier d’un pays à l’autre. En France cependant, pour qu’un vélo électrique soit classé comme un vélo normal, les règles sont claires. Ainsi, en France au moins, les choses ont évolué depuis l’époque où les vélos électriques étaient mal classés comme véhicules à moteur. C’est là que la frontière entre le vélo électrique et le cyclomoteur s’estompe et il est probable que des organisations comme la FFC devront revoir leurs réglementations dans un avenir pas si lointain.
Fan de vélo depuis mon enfance, j’ai fait du BMX plus jeune, des randos de plusieurs centaines de km en VTT. Je sais changer une roue sous la pluie, réparer un dérailleur sous 40 degrés, je suis une cycliste complète !
Le gravel est en train de devenir un véritable phénomène parmi les cyclistes des Côtes-d'Armor,…
À Quimper, la popularité croissante des vélos électriques attire non seulement les passionnés de cyclisme,…
Le marché de la location de vélos connaît une évolution dynamique, avec des services novateurs…
La cohabitation entre différents modes de transport sur la route est devenue un enjeu majeur…
Le monde du cyclisme électrique connaît une révolution grâce à l'émergence de nouveaux modèles innovants.…
Dans un monde où la durabilité et l'économie sont plus que jamais au cœur des…
This website uses cookies.
View Comments